Le magazine « Happinez » nous a consacré un encart dans son numéro 28 :
« L’Université de Paix est une asbl fondée en 1960 par Dominique Pire (Prix Nobel de la Paix 1958).
La mission de l’Université de Paix est la création et le maintien d’un climat de paix, notamment par le dialogue. Son action vise à favoriser un meilleur « vivre ensemble » et à diminuer la violence.
Cet objectif se traduit par un travail au quotidien avec des jeunes et des adultes afin de leur fournir des outils pour gérer les conflits de manière bienveillante et efficace (Certificats et Brevets en gestion de conflit, Programmes « Graines de médiateurs » et « Prévention et gestion du harcèlement scolaire », etc.).
L’éducation au sens large (recherche, information et communication, formation…) représente le moyen privilégié pour accomplir cette mission.
En tant qu’Organisation de Jeunesse, l’Université de Paix intervient directement sur le terrain, notamment dans plusieurs écoles primaires et secondaires belges, auprès d’organismes de jeunesse ainsi que dans le milieu associatif et culturel en général.
En plus des formations, conférences et actions d’informations proposées au grand public, l’UP produit des outils pédagogiques afin de partager le plus largement possible les méthodes de gestion de conflits ».
Happinez n°28 : Yin & yang
Tendre le cœur…
Dans ce nouveau numéro de Happinez, “Yin & yang”, chez votre marchand de journaux à partir du 6 septembre, vous découvrirez la compassion à travers le regard de Joan Halifax, l’une des plus grands professeures bouddhistes.
Faites du bien à votre corps et à votre esprit en vous initiant à la marche méditative. Apprenez la nouvelle signification du “nous” et créons ensemble un monde meilleur où chacun est le bienvenu. Sans oublier la rencontre inspirée et inspirante avec Raphaëlle Giordano qui nous livre sa vision de l’amour et de l’énergie !
“ Au terme d’un parcours jalonné d’épreuves, il comprendra enfin que l’extraordinaire se trouve sur le chemin des gens ordinaires, que la vérité est pour tous les hommes.”
Paulo Coelho, Le Pélerin de Compostelle