Femmes d’aujourd’hui a interviewé Christelle Lacour, Formatrice à l’Université de Paix, sur la question de « la gentillesse » au travail.
Bonne nouvelle : nous serions à l’aube d’une nouvelle ère (de confiance, respect et gentillesse) dans le monde du travail. Difficile à croire face au nombre croissant de burn-out ?
Un article de Christelle Gilquin, dans Femmes d’aujourd’hui (paru en février 2016 (n°8-2016)).
- Le changement commence à se mettre en place
- Les jeunes veulent autre chose
- C’est aux entreprises de changer la société
- Le fonctionnement actuel est contreproductif
- Un management humain est plus rentable : « Dans les entreprises plus humaines, les employés ont plus de plaisir à travailler. Ils sont plus créatifs, plus efficaces, sont moins souvent absents, font mieux circuler l’info… C’est un investissement »
- La gentillesse motive
- La méchanceté coûte cher : «L’OMS affirme que d’ici 2020, souligne Christelle Lacour, si on continue comme ça, le burn-out sera la première cause d’absentéisme, devant même des maladies comme le cancer »
- C’est bon pour l’image
En pratique, on fait comment ?
Christelle Lacour conseille aussi de toujours commencer un débriefing par du positif («Cela prédispose mieux pour la suite»), et de le terminer par du positif. «Il suffit parfois de peu pour changer le discours. Par exemple remplacer : «Tu as été optimale sur ce dossier-là, mais…», par «Tu as été optimale sur ce dossier, et à la fois il reste quelques détails à revoir ». Tentez de présenter ces détails à rectifier sous forme de défis, cela place déjà l’employé dans l’action ».